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Louise H
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19 octobre 2008

Les pleurs du Saule.

"Je sais que t'es à vif. Je sais que mes mots ont été pour toi comme de la peau arraché, comme mes ongles dans ta chair. Mais je le voulais pas.

Maintenant, si tu penses que je prends un malin plaisir à jeter des poignées de sel sur tes plaies pour intensifier ta douleur, c'est que tu ne me connais pas si bien. Non, pas si bien.."

Is that how you tell 
[ Me] apart  ?
I fool myself 
To sleep and dream 
Nobody’s there
No-one but me 
So cool

You’re hardly there

Lovely head, Goldfrapp, juste pour le plaisir.

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Commentaires
V
Merci pour ce moment passé sur ces mots -<br /> <br /> Valériane.
C
Il y a longtemps que je t'aime, jamais je ne t'oublierais. Et ça raisonne la haut. Et ça tangue, et puis NON! J'aurais préféré être battue 100 fois. Les mots font trop mal. Je resterais la merde que tu as raté, et toi l'insatisfaite? Au beau fixe les opportunités qu'il y avait à saisir, et les crachas dessus (remplis de son dédain).
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